Confidences de ma dentiste

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Confidences de ma dentisteCe que je vais vous raconter est le fruit de mon imagination. Je ne suis nullement impliquée dans ce texte, et si j’apparais, c’est un double, un clone, issu de mon imagination…Je connais ma dentiste depuis pas mal d’années. Elle venait de s’installer, jeune et fraîche émoulue, son diplôme en poche avec un vieux praticien qui n’espérait qu’à prendre sa retraite.…Chapitre I – Première partieD’un cabinet vieillot et sombre, elle en a fait un lieu convivial, peint avec des couleurs pastel, une salle d’attente plaisante avec des revues récentes (enfin)… Un matériel de dernier cri, attirait les enfants et leurs parents, et faisait l’unanimité auprès de ses patients pour sa douceur et sa précision…Je me débrouillais chaque fois, de tomber sur elle, jusqu’au départ de l’ancien dentiste.J’appris sa vie, son mariage récent, sa grossesse juste terminée, avec un beau garçon de 4,5 kg, dont les photos s’affichaient sur son ordinateur… Je lui confiais quelques-uns de mes déboires, parfois une bonne nouvelle, elle avait toujours le sourire en me voyant entrer…C’était presque toujours réciproque, on ne choisit pas ses moments névralgiques…Mais en repartant, par contre, c’était toujours le cas !…Je la rencontrais au hasard d’un marché, à quelques kilomètres de notre village…Elle m’avoua avoir déménagé, maison plus grande, son garçon s’épanouissait, un vaste pré engazonné accueillait une grande piscine, elle adorait ce havre de tranquillité après une dure journée.Son mari travaillait non loin de là, ce qui les arrangeait, en vue de la rentrée des classes…Il avait un poste de directeur d’école !Nous buvions un verre en terrasse pour papoter quelques minutes, nos paniers sur les chaises, je la sentais heureuse, installée professionnellement. Elle était une maman comblée et sans doute en tant que femme aussi, amoureuse de son mari, elle en parlait avec douceur… Il adorait s’occuper de petit Marc…Les années passèrent, je la croisais malheureusement quelques fois, l’occasion de bavarder en plusieurs séances, et oublier ma douleur qu’elle savait enlever avec adresse…J’eus droit à un implant, une dent cassée lors d’une chute, défigurait mon sourire…En ce jeudi matin, je nettoyais ma piscine, enlevais les feuilles, balayais le fond, vidais les skimmers, enfin la routine… j’avais presque terminé lorsqu’elle sonna à ma porte…Je fus surprise, la pria d’entrer. Nous nous installâmes au bord de l’eau, sur un nouveau canapé d’extérieur, avec des coussins de toutes les couleurs…-C’est gentil de venir me voir…Son sourire ne dura que quelques secondes, des larmes ornèrent ses beaux yeux noirs, coulèrent sur ses joues, entraînant son maquillage…-Mais…-Je sais, on ne se connaît pas bien, nous n’avons bavardé que quelques heures en près de dix ans, l’âge de mon fils, je venais de le pondre et mon bonheur irradiait ma vie. Je vous ai connue, vous Marika, puis mes autres patients, ce fut un tournant pour moi de m’installer dans ce petit village, puis de prendre une plus grande maison… Petit Marc est heureux, il a ses copains, sa nounou…-Et ?-Et c’est là que ça devient le drame… Si je me confie à toi, c’est que j’ai décelé ta douceur, ta tendresse, tu es mère, tu as l’expérience, tu as eu des instants de doute, sur toi, ton mari… Tu as affronté tes angoisses, ta rage, et maintenant tu es heureuse, détendue, tu aimes la vie, je sens en toi une grande force morale et l’envie de vivre qui dirige tes loisirs et ton plaisir…-Oui… Tu as une bonne mémoire, je ne t’en ai pas dit tant, tu as extrapolé…- Exact, pour moi, tu es une personne sensée, honnête, digne de ma confiance… Voilà, dans notre douzième année, Marc me trompe avec la nounou Julia, 35 ans, mariée aussi, oh sans doute pas très heureuse, puisqu’elle pique les maris des autres… Hier soir, j’étais fatiguée d’une longue journée, je suis rentrée sans bruits, sans doute une erreur… J’ai entendu leurs rires, petit Marc était endormi dans sa chambre, elle était allongée au salon sur lui…La voir ainsi, nue, enlacée tendrement, ils venaient de faire l’amour, cela se voyait, elle était aux anges, il bavait son sourire, caressant ses seins…J’essayais de ne pas respirer pour mieux entendre ce qu’ils disaient… On m’aurait poignardée à cet instant, cela aurait eu le même effet…Elle souhaitait qu’il divorce, elle l’aimait… Je m’accrochais à la porte, m’appuyais, n’en croyant pas mes oreilles, ni ce que je voyais, elle monta sur lui, l’embrassa voluptueusement, ses seins magnifiques massés, caressés, par mon mari… Elle se pencha en avant et guida le sexe en elle…Elle lui commenta son plaisir, les mots résonnaient contre les murs, dans ma tête…Mon ventre me faisait mal, je le désirais aussi… J’étais rentrée pour ça, j’avais envie de faire l’amour, après un bon bain…Elle se donna du plaisir longuement, puis elle jouit doucement, empalée par le sexe la pourfendait, je voyais tout, j’étais en face, il était énorme…Elle se calma en gémissant son plaisir… Je vis la semence couler entre ses cuisses, sur mon beau canapé en cuir rouge…Je ressortis dans le jardin, pour aller pleurer toutes les larmes de mon corps…Je pris le téléphone, appela Marc…-Allo, chéri, je suis coincée. Une urgence assez rare, pour l’hôpital de Montpellier, je suis dans un taxi, ils m’ont appelé en urgence n’ayant pas de praticien de garde ce soir… Double ou triple fracture de la mâchoire inférieure sur accident de la circulation. Il me faut opérer dès que possible, je ne sais si je pourrai rentrer. Je te tiens au courant.Elle reprit son souffle, elle éclata en sanglots…-L’effort que je venais de faire, je ne m’en pensais pas capable… Je pris ma voiture, une Toyota hybride, démarrais en électrique, sans aucun bruit, je quittais le maison…-Depuis hier, tu as fait quoi ?-J’ai dormi sur la plage, dans un coin de parking désertique, je n’ai pas dormi, je n’ai pas d’argent, mon portable n’a plus de batterie… Mais me suis reposée, et me voici…Je la berçais, lui fis un grand café, des croissants décongelés au micro-onde, elle mangea et s’endormit dans mes bras…Je l’allongeais, elle dormit jusqu’à tard dans l’après-midi…Je venais de temps en temps la surveiller, elle avait l’air serein, son beau visage encadré de boucles brunes, un chandail en mohair, une jupe ample, retroussée, me dévoilait des cuisses fines, j’imaginais un ventre plat, une allure sportive, mais une personne bien mise, une certaine autorité que j’avais eu l’occasion d’entendre dans ses conversations…Elle se réveilla, me regarda… Son portable avait repris sa charge, elle appela…-Allo, Marc ?-Désolée, je me suis endormie, je me réveille juste… J’arrive, le temps de prendre une douche…Elle se tourne vers moi, -J’ai cru avoir rêvé… Mais non… 16 heures… Il me fallait bien cela… Mais je te gêne…-Pas du tout, tu es chez toi. J’ai été recueillie par une amie aussi, le soir où…-Je n’ai pas envie de le voir, pas envie de l’embrasser, plus envie qu’il me touche… Quant à elle, si je la croise, elle va m’entendre…-Tu peux venir en attendant d’avoir pris ta décision. Ton enfant est le bienvenu, je peux m’en occuper, à son âge, il est intéressant…-Oui, il est magique…-Comme sa maman…Elle réfléchit…-Bon, je vais prendre le taureau par les cornes, bien que ce soit moi qui les porte…-Oui ?-Parler avec lui, lui demander comment va la nounou, etc et je réagirai en conséquence. S’il me prend pour une cruche, tu me reverras… Au fait, la maison est à moi ! -Tu n’en es pas là…-Oui… Dire qu’il m’avait fait l’amour hier matin… On s’entend bien, je lui donne le maximum, je croyais…Les larmes recoulent, je la prends, le serre contre moi…-Mes amies sont loin, je n’en ai presque plus depuis que je suis venue ici, mon travail me mange mon temps, mon fils, mon mari, la maison…-Surtout tu n’as rien fait toi… Laisse-le réagir, il va certainement te donner l’explication, la fille jolie, seule avec lui, proximité, aventure d’un soir, juste du sexe… Regrets, pardon, baiser, et si tu craques c’est fini pour toi…-Bravo, tu connais les mecs… J’ai une copine qui m’a raconté pareil, en vrai… Salauds, tous…-Reprend vite le contrôle, je sais que tu es une femme active, sensée, prends du recul, ne décide rien sous la colère qui t’envahit…Elle sait que j’ai raison…Elle prend une douche, je l’accompagne à sa voiture, elle m’embrasse sur les joues… Se serre dans mes bras, contre moi, son baiser est tendre, chaud, en pleine rue, en plein midi…Isabelle est très belle. Instruite, sûre d’elle, avec un jugement réfléchi, elle va le mener là où elle veut, lui faire comprendre sa trahison. C’est irrémédiable… Le contrat est écorné…Deux heures plus tard, sonnette, elle est là, en pleurs…-Alors ?-Ce salaud… Petit Marc n’est plus là… Il est chez sa mère, dans le Gard… Il savait que je l’avais vu… Il a appelé l’hôpital… Merde… Il s’est douté que je le trompais… Il avait des doutes depuis quelques temps… Mais non !… Alors il m’a dit avoir pris les devants…-C’est vrai, tu l’as trompé ?-Non… Enfin… C’est vieux… Juste un week-end en réunion médicale.-C’était bon ?-Oui… J’ai arrêté pour ça, je pensais à lui tout le temps, j’avais envie de lui, d’une autre nuit d’amour… Le changement, se sentir aimée, se laisser courtiser, se laisser caresser, accepter le dernier verre dans sa chambre… Un flirt, jusque-là… Sans importance… Il est plus tendre, plus câlin, plus entreprenant aussi, plus jeune peut-être et fougueux…Et puis tout bascule… Premier baiser…Je vais franchir la ligne, je le sens… Je me mets à couler comme une rivière, debout, dans ses bras, sous ses mains qui me palpent, me massent, passent dans mes cheveux, dézippent ma robe, descendent sur mes seins, frôlent mon ventre… Le déclic……Et j’ai envie de le sentir en moi, ce sexe qui grossit contre mon pubis qui ondule contre lui, m’excitant autant que lui… Que d’adrénaline ! Jouir, d’un autre homme, 12 ans de loyauté balayée…Le choc ! C’est moi qui délire, c’est moi qui le déshabille, qui ôte ma robe, moi qui sort son sexe, qui le suce, c’est moi qui gémis quand il m’étreint. Je me suis sentie femme, je jouissais… Il était en moi, il me faisait l’amour…Que c’est bon un sexe qui te pénètre et te porte aux nues, jusqu’à l’orgasme que tu désirais, cet abandon des sens, ces instants où tu perds la notion du temps, de la réalité, emportée par ta libido, te laissant conduire dans les méandres du plaisir, lui offrant ton corps, sous toutes ses facettes, toute la nuit, sans manger ni boire jusqu’au matin, trouvant des ressources, et le cherchant encore, jusqu’au fond du lit, ivre de son membre, te livrant à l’infini, les yeux vagues, embués… Je l’ai aimé comme une lionne, sauvagement !…Rien n’était prévu, rien ne laissait penser que pendant ce week-end de travail, j’allais rencontrer ce beau blond magnifique, des yeux d’agent secret, un sourire d’arnaqueur…J’y ai mis un terme avant de le revoir, j’en étais malheureuse, mais petit Marc est arrivé, je n’ai rien regretté, et mon Marc n’en a rien su…-Et en ce qui te concerne, comment a-t’il réagit ? Tu lui as dit quoi ?-J’ai vu son regard méchant… Je ne l’avais jamais vu comme ça… J’ai eu peur… Mon fils n’était plus là… calmement, je lui avoué cette vieille incartade, le contexte différent… Là, dans notre nid, avec une femme, presque une amie… A ma barbe…Il a tiqué… Il regrettait d’avoir emmené notre fils. Il a pensé que n’importe comment, Marc était mieux là-bas, tant qu’on ne s’est pas expliqués…Je lui ai juré que c’était mon seul encart, juste un moment de stress, comblé par le sexe. Notre union est complète, ce n’est pas une liaison, contrairement à ce que j’ai entendu avec la rouquine… Il m’a juré que c’était aussi la première fois qu’il allait aussi loin, caresses volées, baisers appuyés, comportement aguicheur, elle essayait depuis quelques temps, car en diyarbakır escort proie à une crise conjugale, il avait cédé sur l’instant, sans réfléchir, et avait oublié le temps… Cela m’a calmée… Mais j’étais encore sous le coup et lui ai demandé un peu d’air, de quoi respirer… J’irai rechercher petit Marc lundi, puisque je suis fermée… Deux jours de plus… J’aimerais les passer ici, avec toi comme amie, conseillère, juge…-Tu as bien fait. Ce n’est pas très grave s’il dit la vérité. Il l’a congédiée ?-Elle ne revient que lundi soir, elle prend petit Marc à l’école, le baigne, fait ses devoirs, le fait manger, car nous avons des horaires très flexibles…-Bon, tout va bien alors ?…-Presque… Juste ce que j’ai sur le cœur… Je n’avais jamais envisagé autre chose avec lui. J’étais comblée, même après mon week-end. Je n’ai jamais connu d’autre chose que quelques amants avant mon mariage. Je n’ai jamais eu besoin de… piment, comme on dit maintenant… Oui, Marc m’a acheté un ou deux jouets, c’est tout… Je pensais qu’il serait temps de booster justement notre couple, afin d’éviter ces mensonges. Si on partage ces instants d’un commun accord, il ne peut y avoir tromperie, ni danger… Juste du sexe entre amis… Il m’en avait parlé, je n’ai pas remis ça sur le tapis… Ce serait le moment pour moi, de le tenter, d’essayer… Je ne suis pas lesbienne, je n’ai jamais connu que quelques abandons d’adolescentes…-C’est un stade, une progression vers l’échangisme entre couples, savoir donner et prendre du plaisir avec une femme. Ensuite c’est plus facile d’aller vers un autre homme si ton mari est avec sa femme et que tu le vois… Tu peux même y prendre plaisir, la voir jouir à ta place, son mari te faisant l’amour, jouir de lui sans arrière-pensée… Tu peux connaître ce que tu as vécu ce fameux week-end, cet abandon, sans autre but que le sexe et en toute sécurité pour ton couple. Et même plus car les liens entre vous s’accentuent, deviennent plus profonds, comme une redécouverte…-C’est vrai ?-Absolument, je suis bien placée pour t’en parler, ayant initié nombre de mes amies, et le faisant encore avec Romain dans nos escapades en camping-car…-Ah, il faut acheter un camping-car ?Rires… Elle est détendue, calmée, elle voit la vie avec sa blessure qui a entamé sa confiance en lui… Il faut qu’elle lui en parle, mais pas immédiatement…A midi, nous déjeunons d’une grosse salade, et de fruits achetés hier au marché…-On pourrait faire les boutique cet après-midi ?-Pourquoi pas, pour ça, je suis toujours d’accord !Elle prend sa voiture, un tapis volant, puis dès que l’on accélère sur la route, le moteur s’enclenche, adieu silence, mais c’est génial, surtout que l’on n’a pas à se soucier de l’autonomie électrique, comme dans un véhicule normal, juste l’essence…Le port recèle de boutiques à la mode, chères parfois, mais avec des produits que l’on ne trouve pas ailleurs…Elle me détaille lors de nos essayages, elle est svelte, je l’avais deviné, ventre plat, des seins parfaits, de longues jambes…Ce qu’elle m’a dit tourne dans ma tête, je ne dirais pas non…. Oui, je le reconnais, elle me plaît… Lui enseigner les caresses lesbiennes, l’amour au féminin, échanger de la tendresse, je suis émue… Surtout qu’elle essaie un maillot de bains arachnéen… Ses seins sont vraiment parfaits…Je fais la même chose, sans autre gêne désormais… Je n’ai pas à chercher…-Tu es vraiment belle…-Tu dis ça parce que je suis nue devant toi…-Je sais que tu aimerais m’enseigner la femme…-Mais ?-Rien, un relent de morale…On n’en reparle plus, et elle m’offre une magnifique robe que je n’aurais même pas essayée après avoir regardé l’étiquette… Je suis aux anges, l’embrasse et deviens accro…Elle reste le week-end, elle fait la connaissance de Romain qui passe manger le dimanche…Il la regarde avec attention, lui parle d’Isa, de ses ennuis, de son couple et de son désir avoué d’aller vers d’autres plaisirs… Mais chut, pour l’instant c’est tabou !Dimanche soir, elle dort avec moi, nous bavardons librement entre copines…-Merci de m’avoir présenté Romain, c’est un bel homme, tu as de la chance…-Le tien est pas mal d’après ta description…-Tu aimerais le rencontrer, un peu plus tard, que je guérisse…-Tu sais ça pourrait être un médicament…Elle rêve un instant, perdue dans ses pensées, dans cette chambre éclairée par la lune, une baie ouverte sur la terrasse, les rideaux qui ondulent sous la brise tiède.-Si Marc est d’accord pour que nous élargissions notre vie intime, j’aimerais que ce soit toi qui m’apprennes les femmes…-Tu n’as pas envisagé de le tromper avec une femme ?Elle tourne la tête vers moi, les yeux luisants…-Tu l’as fait ?-Cela a été ma première réaction, j’ai construit un réseau de femmes dans mon cas, divorcées, trompées, battues, délaissées, de mes voisines, puis par connaissance… Nous avons organisé des ventes à domicile, qui sont devenues très intimes… je trompais Paul chez moi, lui étant au rez-de-chaussée, puni et les croisant sans arrière-pensées, que des images lubriques sans doute en macho patenté…-C’est génial… Et ensuite ?-Oh… J’ai repris goût au sexe masculin, j’ai plongé, très bas… 2 ans à oublier, puis une femme m’a tendue la main, nous nous sommes aimées, 6 mois de bonheur, et j’étais guérie… Divorcée, maison à moi, retraitée, j’ai commencé cette nouvelle vie, rencontré Romain au hasard de mon premier échange, c’était un collègue de mon mari.Puis de fil en aiguille j’ai gardé cette part aventurière, Romain la partage, mais il reste si tendre et si disponible que l’on coule des jours heureux ainsi, partageant notre libéralisme sexuel…-Tu as beaucoup d’aventures ?-Une dizaine de partenaires de chaque sexe par an…-20 !… Et qu’en camping-car ?-Pourquoi ça te dirait d’essayer ?-Le camping, pour moi, c’est la liberté, ça colle avec ce que tu dis, libération de la femme, plaisir partagé, vacances, flirts coquins, le goût de l’aventure comme tu dis, entre bourge délurée et hippie nouvelle génération, écolo libertine…-On peut le prévoir, il fait encore bon, on pourrait aller pas trop loin, à la mer…-Oui… Mais…-???-Si je te dis toute seule avec vous 2 ?-Oh, coquine…-Non, juste pour remettre les compteurs à 0 !… Mais…-Oui ?-En attendant, j’aimerais juste un avant-goût… Tu m’as mis l’eau à la bouche, cette après-midi dans les cabines…Son baiser est sublime de douceur, et je me sens fondre comme un bonbon… Tournée elle, nos lèvres embrassées sont le seul contact entre nous… Un goût d’interdit, de tabou, qui devient tendresse au fil des minutes…Je n’espérais rien ce soir, pas dans ce sens… La nuit passée avait été tendresse et amitié, parfois nos mains se touchaient, nos doigts se croisaient… Je laissais le temps faire son œuvre, ses idées prendre forme, son corps espérer.Sa main sur ma poitrine, jouait avec les boucles de mon déshabillé, effleurait un sein, j’attendais, tapie dans mon coin, ressassant ses propos.-Je ne me suis jamais masturbée…-Ah ?-Je délire, t’avouer cela d’un coup…-Tu vivais avec quelqu’un, c’est normal…-Une cliente m’avait dit le faire même quand son mari dort à son côté… Elle en ressentait le besoin, se touchait, entrait son doigt et se laissait porter dans la nuit… Cela m’avait marquée, il y a quelques années, après Petit Marc… Ma libido avait du mal à revenir, j’avais essayé, mais sans retour…-Et quand tu fais ta toilette intime ?-Non, je suis juste prise par le besoin de propreté et nullement excitée… Ce n’est pas normal ?-Chacune a ses propres réactions. En vivant avec un compagnon, ou une compagne, la libido est entretenue normalement et le désir n’arrive qu’avec les caresses de l’autre… Chaque couple a ses préférences, commence par ce qu’il aime, hommes et femmes pensent différemment, mais le but ultime sera atteint, quel que soit les préliminaires, du moment qu’ils apportent désir et plaisir…-C’est vrai. J’ai eu des moments si irréels, après mon adolescence et quelques flirts, à partir de mes vingt ans, coupée de mon corps, tournée exclusivement vers mes études, le souci d’y arriver, d’emmagasiner le plus possible d’expériences en les lisant, voir des cas difficiles, aller plus loin, pour être la meilleure… 25 ans et vierge, ou tout comme… La première fois c’était un étudiant, comme moi, inexpérimenté, puceau… Il m’a déflorée avec tendresse, je me suis laissé faire, tremblante, prenant mes précautions, pilule, capote, et on a remis ça la semaine d’après et ce fut l’explosion dans mon corps, j’ai joui toute la nuit, rattrapant des nuits d’amour perdues dans les livres de science… Au matin, il était vanné et hors service… Déçue, je me suis tournée vers les discothèques et des copines… J’ai trouvé, trente ans, divorcé, interne en médecine, beau gosse, il m’a prise debout dans les toilettes, j’ai vu 36 chandelles, le sommet de l’Everest, il n’en revenait pas, il m’a emmenée à l’hôtel, un truc pas cher, où on entendait nos voisins nous accompagner… Là, j’ai appris à faire le sexe sous toutes les coutures, j’étais enfin femme lorsque j’ai battu les autres en intensité, en volume, en durée…On s’est revus deux ou trois samedis, chez moi. J’avais gagné mes galons de chirurgien-dentiste, une paie de folie pour mon âge, des rêves pleins la tête, en premier lieu, un prince charmant qui pourrait me faire vivre la même chose, chaque nuit, toute ma vie…-Oh, ma douce !… Nous aussi, mais le cheval est vite fatigué et le cavalier se lasse de sa monture… On n’y prend pas garde car c’est insignifiant, l’habitude prend le pas sur le désir, sur la vie, le rythme de nos journées… Et hop, on se retrouve enceinte et là c’est fini. Baise du samedi établie, consensuelle, réglée, jusqu’à ce qu’on réagisse… En vacances, oui, un relâchement bénéfique, des zones dénudées avec adresse mais enfants, parents, voisins, environnement sont souvent perturbants… On a la sensation de faire mieux quelques jours et puis c’est le retour…-Tu as raison mille fois, que de couples tombent dans la monotonie… Il m’arrive d’effleurer certains patients avec un sein que j’appuie par mégarde, je sens aussitôt un intérêt nouveau, quel que soit le soin en cours… J’ai fait exprès avec certains pour savoir où ils seraient capables d’aller…-Et ?-Sous ma blouse, sans retenue…-Et ?-Fin des soins tagada…-Ça me donne une idée pour tester la fidélité des hommes… Tu pourrais m’aider à définir le fantasme, l’identifier, le reproduire et l’exécuter…-Tu es maligne… Un jeu… Si le patient est d’accord et beau, et avec toi…-Tu y viens…-Non, pas encore…Nos doigts croisés, nos bouchent se fondent, je vais exploser, bondir sur elle, c’est de la torture… Je pose une main sur un sein…-Continue, je suis trempée de désir, mais je ne sais si c’est de toi, ou d’un sexe…Ma main est faite pour elle, juste la taille, ses tétons érigés pointent, elle commence à se tourdre, respirer fort… Ma main glisse sur son ventre, touche le pubis, j’écarte mes doigts… Je caresse ce ventre plat, les poils épars, elle n’a plus de culotte… Je descends entre les cuisses, la vulve est détrempée, chatte ouverte, clitoris bandé… Mon doigt le pointe, le caresse, le tourne, elle gémit…Elle s’est écartelée, offerte à mes fantasmes lesbiens… Mon doigt explore, glisse, revient, au bord du puits, c’est un trésor que je ne veux pas ébrécher… Je coule comme une fontaine à savourer ce que mes doigts découvrent…Je masturbe sa fente de bas en haut, de haut en bas, reviens… Ses sonorités m’enchantent, elle vibre, jouit dès le premier instant…-Oh… Ouh !… Euh !… Euh !…Elle décide, je la maintiens à ce niveau, au bord du oui…Son bassin ondule suivant mon doigt…Ce qu’elle ne fait pas je le lui prodigue…Mes seins me font mal, mes bouts sont énormes…Rarement je n’ai atteint ce degré, cette intensité, essayant de me calmer…Elle s’écartèle de nouveau, je la suis, me soulève, mon escort diyarbakır doigt glisse doucement, revient sur le clitoris boursouflé, appuie, tourne… -Oh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !… Euh !…Sa main rejoint la mienne, la pose, son doigt dirige le mien en elle…-Oh, oui… Vas-y ! Prends-moi…C’est un délice !… Son vagin est douillet, large du fait de son enfant, j’entre deux doigts, les plus longs, elle délire…-Ouh… Oui !…. Viens !… Encore !… Oh, oui !… Ne t’arrête pas… Fais-moi l’amour…Le baiser est différent, merveilleux, profond, et mes doigts vont et viennent, elle bouge, se donne, m’accompagne, me désire toujours, plus profond, plus loin, plus coquine…Alors mes doigts explorent, tournent, touchent son utérus, reviennent sur la paroi vaginale, massent, massent, elle jouit, jouit et un jet soudain inonde mes beaux draps de satin…-Mon dieu, j’ai fait pipi !…-Mais non, c’est ton désir qui s’est libéré, relâche toi… Laisse toi caresser, ouvre ton vagin à mes doigts, je te mène à l’extase…Mes deux doigts plongent de plus belle et se perdent dans son jardin, j’effleure un coin privé, mais elle ne réagit pas… Je recommence, en accélérant, elle te tend, se soulève, jouit son orgasme, merveilleuse en me serrant la tête contre sa poitrine, et pleurant de joie…-Oh, oui… Tu es magique… jamais je n’avais connu ça avant… Je veux tout connaître, je suis à la ramasse en matière de sexe, même du mien !-C’est un peu la logique des choses, de ce que tu viens de dire… Il faut des expériences diverses, des contacts féminins, des actes complets, intenses, profonds, une ambiance pour tout connaître, ou du moins s’en approcher. Tu as joui pleinement, j’ai trouvé ton point délicat, celui qui commande des glandes spéciales et tu t’es libérée expulsant ce délicieux nectar qui n’a rien à voir avec l’urine, mais se rapproche de celui des hommes, de leur prostate… -Je suis honteuse…-Au contraire, cela prouve que tu as atteint un niveau de plaisir supérieur. Il est difficile de « noter », « d’étalonner » le plaisir. Sache que tu as réagi à mes caresses, que tu étais dans un état d’excitation propice, et que ton orgasme n’a pas été feint !…-J’adore ce que tu m’as prodigué, ces caresses, avec tes doigts de fée… ta douceur, je me suis sentie partir… Puis j’ai joui, et je te voulais, vite, comme avec un homme, me sentir pénétrée, envahie, que c’est bon…-Je t’apprendrais d’autres choses, si tu t’ouvres à nos principes, et puis à plusieurs partenaires, le champ augmente… Les possibilités sont plus nombreuses…-J’ai du chemin à faire alors, pour être une femme accomplie ?-Juste aimer cela, faire abstraction de tes principes, de ta morale, te libérer de certains de tes tabous pour vivre une meilleure sexualité. Ce sont des expériences multiples qui repoussent ces limites, tu t’arrêtes quand tu veux, où tu veux.-L’amour à la papa-maman est révolu… Mais tant que tu n’as pas envie de franchir le pas tu y restes cantonné… Y a pas de mal…Elle se pelotonne contre moi, comme une amante comblée, s’endort comme un bébé, parfois une main ou une cuisse vient me troubler, elle est si belle et si désirable, j’att**** mon gode et me fais plaisir tout doucement, sans crier, juste jouir égoïstement…Chapitre II – Seconde partieIsabelle est retournée chez elle… Isabelle a coupé ses ailes…Je ne suis pas triste, juste un peu contrariée, je m’attendais à plus entre nous…J’ai repris ma vie tranquille, mon Romain enchanteur, ma fille au loin qui ne viendra pas cet été, autres projets, avion, îles paradisiaques au programme pour leurs dix ans de mariage.Quelques semaines plus tard, « Dring » à ma porte…Interphone car le temps a changé et je me suis enfermée…-Salut, c’est moi, Isabelle, tu as un instant ?Bien sûr que j’ai du temps, il est 09h00 du matin, je suis encore en pantoufles…Elle est habillée classe, robe fuseau, sac de marque, escarpins…Après une bise amicale…-Tu vas où ?-Je ne pars pas, j’arrive. Enfin, je ne sais pas…-Ton cabinet ?-J’ai pris deux jours et mis une remplaçante.-Ah ! Et ?-Je suis désolée… Je sais que je n’ai pas été franche avec toi, ni, disons très loyale…Tu m’as hébergée, consolée, remis sur le chemin de l’espoir, du pardon, avec ta classe, ta touche, et ce dont nous avons parlé, mon ouverture au sexe, à l’échange, le sexe au féminin… Bref j’en ai parlé un soir, après avoir repris mon rôle d’épouse avec Marc, petit Marc endormi… Je ressentais du plaisir, mais pensais ailleurs… Mon infidélité, certes pardonnée, puisque ancienne, la sienne avec Julia, et cette nouvelle voie que tu m’as ouverte. Tout cela tournait dans ma tête…Mais nos rapports reprenaient, la vie continuait presque comme avant… Julia était toujours là, j’évitais de rentrer après Marc, elle venait faire la cuisine, récupérait petit Marc à la sortie de l’école, comme d’habitude et s’occupait de lui le mercredi. Je n’avais rien dit, égale à moi-même, mais elle a dû sentir le souffle du boulet…Un lundi, voulant clarifier la situation, je l’ai appelée.Elle est arrivée vers 14h00, je venais de coucher petit Marc pour sa sieste…Nous pouvions bavarder…Je savais !… Elle me regarda, tournant ses doigts dans ses mains…-Je… Je me suis mal comportée avec toi… J’aurais dû m’excuser plus tôt. Un instant de déprime, Marc était là, devant moi, beau, gentil, attentif… Les jours passaient et j’aimais me retrouver avec lui, près de lui… Délaissée par mon mari, trompée, je ne brillais pas et cherchais une épaule. Mais c’est dur de se confier.-J’étais là, je pensais justement que j’étais aussi une amie…-Tu étais son épouse, aussi… Et s’il venait à me regarder c’est que tu ne lui donnais pas ce qu’il voulait…-Ah… Ma faute !… Par négligence de mon époux !…-Je sais, mon jugement était erroné, j’ai des circonstances… Un soir, je lui parlais de moi, de mon couple… Il m’a prise dans ses bras et m’a consolée… Je me suis faite des idées à partir de là… J’essayais d’être là à son retour, avant que tu arrives, je parlais, amplifiais mon désarroi, le vampais outrageusement et il a craqué enfin ce soir-là… J’étais la reine des femmes, comblée, il m’avait fait l’amour !… Il m’a appelée le lendemain, disant que tu nous avais vus et que tu étais partie…Le monde s’écroulait, je pensais ne plus devoir venir, le voir, le toucher, c’était déjà fini… Et le pire, ne plus voir petit Marc, mon petit Marc…Il le fit garder par ses parents…Je ne pouvais lui dire ma pensée, Julia était désespérée, son mari, Pat, proche de Marc, avait appris la trahison de sa femme… Il parlait de séparation…Elle était là, devant moi, éplorée, je la serrais contre moi, tu m’avais appris l’amour saphique, tu m’avais tant bouleversée que maintenant, mon corps réagissait à son contact… Elle était abandonnée dans mes bras, comme moi en cette dernière nuit où j’avais tant envie… Mais je m’étais endormie, et ce fut la fin de notre week-end…Mes sens étaient en éveil, je la caressais doucement, sur le canapé rouge du salon, là où elle s’était offerte à Marc…Je sentis l’envie, le désir, elle était belle, offerte, je captais son regard… Ses yeux me suppliaient, on s’embrassa…Feu d’artifice, coup de foudre, je ne sais pas, mais nos gestes se complétaient, je me retrouvais nue, avec elle, dans mon lit…Je découvrais son corps de brune, sa toison impeccable, son pubis sculpté, son abricot glabre, un délice… J’appliquais ce que nous avions échangé, je me laissais guider par mes sens, par mon propre plaisir, elle répondait, refaisant, imitant, se donnant sans parler, et se mit à jouir de mes doigts, de mon corps, gémissant sans cesse…-Oh, oui, j’en rêvais aussi… Je suis à toi, prends mon corps, prends-moi, fais-moi jouir, apprends-moi le plaisir au féminin, je ne sais rien de lui, seulement que j’ai envie de toi…-Alors elle devint mon amante, et je trompais Marc avec elle, plusieurs fois, le lundi, et d’autres jours volés à mon planning… J’étais amoureuse d’elle…-Bien, tu as eu un retour assez mouvementé… Sache que de mon côté, je ne voulais pas te brusquer, j’espérais simplement que ce soit toi qui décide, à ton heure… J’ai repris mon quotidien, mais tout est gravé, et tu me plais toujours autant…-Merci, Marika, tu es une véritable amie, sincère. Je tiens à cette amitié. Si je me suis conduite un peu comme un papillon, je te dois ces instants de plaisir partagés avec elle… Mon premier amour lesbien… Mais je n’ai pas connu la même intensité, ni le même plaisir, si profond au point de déclencher en moi des mécanismes inconnus… Je gardais mon self control, l’amenant à la jouissance, à l’extase des orgasmes qu’elle ne connaissait plus depuis pas mal de temps… Elle se lâchait, nous étions des lionnes, combattant pour le plaisir… Marc n’était plus dans mes pensées, je voguais sur mon nuage…Jusqu’à ce qu’il nous trouve, un lundi, tendrement enlacées après l’amour, dans mon lit conjugal…… Je ne sus que faire sur l’instant, tétanisée… Elle me regardait… Je me suis entendu dire « Viens ! » et il nous a prises toutes les deux, un taureau en folie, je ne l’avais jamais vu ainsi…J’ai pensé à ce que tu disais, le sexe pour le sexe, partager, pour le plaisir… Ce partage, entre moi, lui et Julia, la voir et l’entendre jouir sous ses coups de reins, me prendre ensuite et me donner autant de plaisir tandis qu’elle ajoutait sa féminité, ses caresses et sa tendresse…Le lendemain, à mon cabinet, je réfléchissais, les pensées ailleurs qu’à mon travail. J’ai fait mal à un patient, je me suis reprise, mais….Et puis le soir, en arrivant, seule, je me suis mise à pleurer. Me traitant de tout, offrant à Marc l’occasion de se la refaire à loisir, en mon absence… Je lui en parlais immédiatement, dès qu’il rentrait avec petit Marc…-Tu n’as qu’à inviter Pat, son mari, mon copain. Ils en sont au même point que nous, il m’a parlé au téléphone. Il a saisi une occasion, attiré par la découverte d’un autre corps, avec la sensation de plaire, en bon macho. Julia est coincée sur des points de morale… Elle ne voulait pas le partager avec une autre, bien qu’elle me vole à son amie… Elle n’avait jamais fait de sodomie, éducation chrétienne… Je lui ai ouvert la voie… du plaisir…Bref, si Pat te plaît, si tu es d’accord, nous pourrions tester samedi, ici, on fait garder petit Marc par mes parents et on s’accorde des vacances sexuelles tout le week-end…-Elle te plaît tant que ça ? Tu veux la garder, la baiser dans mon dos ?-Pas du tout, puisque tu le sais maintenant. C’est partager des instants de sexe, pour booster nos libidos, avoir une certaine complicité, dans un cocon de respect et d’amitié. Mais nous restons un couple, et nos sentiments ne changent pas, je t’aime et t’aimerai encore après des heures de coït avec elle, à l’entendre jouir de mon sexe, à la prendre partout, et avec son mari pour l’envoyer au paradis…-Il m’a fait réfléchir, perturbée, il rejoignait ta pensée… Je connaissais Pat, Marc les avait invités à notre mariage, nous étions revus lors de fêtes, chez et chez eux. C’est lui qui nous avait proposé sa femme en tant que nounou.Il était devenu mon patient quand je me suis installée. Il m’avait draguée gentiment lors d’une séance… J’avais apprécié. Ça aurait pu… Il n’est pas mal, sait parler, il a de l’humour, plus que Marc, il est sympa… Et il adore la cuisine…-Et tu en es où ?-C’était hier… J’ai peur de cette soirée…-J’ai le remède à ta peur…-Ah ? Donne-le-moi alors, vite, je les ai invités ce matin, Julia est aux anges ! Marc monte notre fils vendredi soir chez ses parents, et revient samedi midi… J’ai peur que cette soirée devienne un enfer, que Julia se paye Marc en bondissant comme je l’ai vue et que je me fasse violer par Pat…-Tu ne l’apprécies pas, tu ne le désires pas ?-Le désirer, non… Je ne sais pas, je n’y ai pas songé… Je pense aux diyarbakır escort bayan moments échangés avec elle, je la vois me sourire, quand je la croise et qu’elle me sourit avec la même intensité, comme par amour… Mais lui, non, rien… Quand je pense à lui, je ne ressens rien…-Pourtant il t’a draguée…-Oui, par jeu… Seuls tous les deux après un soin, un geste, on se disait au revoir… Je n’avais plus repensé.-Tu ne l’as pas revu ?-Euh… En vitesse, chez eux, je suis allé récupérer mon fils, il était là, sans plus…-Bon… Alors je vais te proposer une solution à ton angoisse, car si tu rates ce rendez-vous, alors que tu te trouves dans les meilleures conditions de sécurité, d’affectivité, d’environnement, pour une première expérience de votre vie sexuelle, de votre vie de couple, et de la leur… Et en plus tu as eu un premier essai gratuit à 3…-Oh !… Mais !… Si… Alors ?-Venez ici, tous les 4, Romain sera aux anges. 3 couples c’est un bon nombre. Vous vous connaissez tous les 4, enfin pas complétement, mais 3 sur 4… Vous désirez passer le pas vers le pluralisme, la mixité, l’échangisme. C’est le moment, et c’est dans un lieu neutre pour vous. Tu le connais, même mon lit… Tu as dîné avec Romain. Mon salon est grand, il est à toi pour cette expérience. Tu les as invités chez toi, à deux pas, venez ici, ne leur dis rien avant, entre désir de découverte, nouveauté, appréhension, tentation… Qu’en dis-tu ?-Génial, oh, oui !… Elle te plaira, je la partagerai avec toi aussi, et Romain adorera son grain de beauté coquin… Je partagerai Marc pour la seconde fois, et Romain me séduira, car je l’ai trouvé craquant…-Et nous partagerons Pat toutes les deux, tu seras en confiance, tu vas adorer ces moments de sexe… Au fait elle ne divorce plus ?-Non, aux dernières nouvelles, après notre « rapprochement » et la perspective d’autres liens, d’autres découvertes, une nouvelle vie pimentée de parenthèses consensuelles, il a abandonné, elle a approuvé et pardonné.-Julia est perfide, non ?-Sans doute. Elle a été privée de ces plaisirs pendant pas mal de temps…Isabelle me sourit…-Tu as toutes les solutions à nos problèmes de femme, de mère, d’épouse ?-Oh, que non. Mais mon expérience en tant que DRH et après dans mon groupe de femmes délaissées, mères cougars, épouses trompées et autres délices du mariage, je sais trancher, aménager, et surtout panser les plaies. Parler est le plus important, il faut encore trouver les mots et être crédible et à l’écoute.-Et tu donnes de toi chaque fois ?-Ah, ça c’est coquin. Mais c’est le risque, les victimes tombent dans les bras de leurs sauveurs…Son fourreau tombe sans bruit, le reste glisse sur le plancher…Elle est plus mature, plus entière, plus femme, elle vient me chercher, et nous montons les degrés du plaisir lesbien, accolées, tendres, lascives. Elle me fait jouir par surprise, une caresse appuyée et longue sur ma vulve, un geste oublié, un simple doigt qui me vide de ma liqueur de femme, qui s’épand, qui m’entraîne. Je lui fais l’amour, sexe contre sexe, moment intense de plaisir, délivrant un orgasme commun, un tremblement de terre…Je ne la reconnais pas, si directive, joueuse, précise dans ses gestes, comme dans son métier, cherchant le but ultime du plaisir de l’autre… Mon baiser n’est pas feint, notre jeu est si intense, que l’heure tourne, nous retrouvant épuisées sur ma descente de lit…-Tu es ma meilleure amante…-Tu es ma seule amante…Je la fais jouir classiquement, allongée sur le lit, écartelée, son sexe ouvert sous ma bouche et ma langue qui la porte à pleurer son plaisir en se tordant en tous sens… quelle merveilleuse fin pour ce matin, ses trésors baignant de nos sucs, de salive, de désir, de liberté !-Je t’aime plus que tout, apprends-moi à inventer ce sexe délirant, jusqu’au bout de mes seins, de mes cuisses, l’envie d’être sucée par toi, à en crever…-Samedi je t’en ferai encore, jusqu’à vouloir un homme pour atteindre le nirvana…Elle se d**** de son fourreau, nue, désirable, les yeux brillants…J’ai envie de la baiser encore, qu’elle demande grâce, mais je me réserve…Romain s’est habillé sport, il fait encore beau et tiède. Nous dînerons dehors, le jardin est accueillant et propice aux échanges discrets…Isabelle a passé une robe ultra-courte, Julia est en jupe noire aux genoux et chemisier blanc, décolleté. Pat, en Jean bleu roi et sweat, et Marc en pantalon de golf, polo ouvert vert…Une bienvenue à tous, autour de la table de jardin. Je dis les choses simplement…Bonsoir les amis. Je peux dire cela puisque c’est le but de la soirée. Nous sommes voisins, certains se connaissent, ont souffert… sous les doigts de notre dentiste, Isabelle que je remercie et qui est à l’origine de ce repas. Bienvenue donc, Romain et moi sommes à votre service.La vie peut réserver des surprises, l’amitié est là pour nous aider à passer les pires instants et les oublier. Le plaisir est rare, le bonheur fuyant. Chacun viendra puiser et partager dans nos échanges de ce soir, ce sentiment de quiétude, ce plaisir infini que procure le sexe, des instants facilités par le respect de l’autre et la bienséance. Pas de vulgarité, pas de jalousie, ni de v******e, ni de contrainte physique ou morale. Pas de triche, pas de faux-semblant, nous entrons dans un monde libertin et profitons de cette première soirée sans arrière-pensée, pour faire connaissance, oublier nos tracas, notre quotidien, vivre une sexualité nouvelle, entre adultes, et qui doit raffermir celle de notre couple, en pouvant librement échanger, comme une parenthèse dans notre contrat moral…Merci d’avoir accepté cette invitation, bonne soirée et bonne nuit…La musique retentit, douce, calme, les apéritifs sont servis, nous dansons, Marc se précipite dans mes bras…-Merci… Mille fois merci… Je sais ce que tu as fait, un miracle. J’aurais aimé te parler, mais tu as manœuvré adroitement, et finement. J’ai fait un accroc, elle l’a vécu comme toutes les femmes trompées, tu as su la consoler, attendre, la convaincre, lui donner la force de voir l’avenir, notre couple, avec d’autres yeux. Merci d’en être arrivée là. J’ai ma maîtresse et ma femme ce soir je suis comblé, grâce à toi…-Ce n’est pas pour toi que j’ai fait cela, mais pour elle. Pour moi aussi car Isabelle est un bijou, pur, droit, avec tout ce qui va avec, éducation, sensibilité, intelligence, passion, amour, pour toi et votre fils. Il est dans la vie des caps difficiles à franchir pour chacun. Travail, âge, avenir… La femme s’investit souvent plus dans plus de choses. Maison, éducation, maternité, profession, elle survole certains aspects, en oublie de regarder à son côté. L’homme est plus direct, terre à terre, il craque souvent sans réfléchir aux conséquences… La femme aussi, mais dès qu’elle se trouve seule, perdue, oubliée, délaissée mais à faible dose, imperceptiblement moins attirante…Alors le crash arrive. Une occasion, une tentation, une de trop parfois. Et l’homme reprend sa chasse, savoure l’instant, oublie souvent le lendemain. Parfois c’est plus profond. Le malaise est avéré et faute de discussion, s’envenime au fil du temps jusqu’à la rupture…A un instant donné de vie commune, il faut réagir, repartir, s’orienter. Cette soirée est là pour ça. Tromper entre amis libertins, consentants, honnêtes, dans le même dilemme, n’est pas tromper. Se rencontrer, échanger des caresses, des baisers, faire l’amour ouvertement, favorise la libido, la propulse vers des horizons nouveaux. Si l’un des partenaires avait des limites trop strictes, morales, principes personnels, ce genre d’échanges est là pour l’aider à les repousser, à tenter d’autres, ou simplement apprendre, découvrir, vivre un nouveau plaisir. Pas de sentiment, rien que du sexe.-Bien dis-donc, tu connais ton sujet, tu devrais ouvrir un cabinet de sexologue…-J’y ai pensé, mais maintenant, je suis trop vieille pour me lancer…-En tous cas merci pour nous. Je sais que tu puises beaucoup de plaisir à l’aider, ne t’en prive pas, je vous comprends, je te comprends, elle est transformée…-Julia est aussi une belle femme, attirante…-Même chose pour eux, il a craqué car moins de passion, moins de présence, d’attention… Elle a réagi pareil, en allant voir si elle plaisait toujours…-Elle plaît, à beaucoup…-Coquine… Tu viens boire un verre ?Nous descendons au jardin, je lui montre la piscine, le chalet, notre havre de verdure, on s’assied…Le baiser est soudain, franc, plein, long, intense… C’est torride, rapide, son sexe est contre moi, je suis nue, je me penche…Il est long, dur, doux, blondissant…Il me veut aussi, insiste, caresse mes seins, masse longuement jusqu’à déclencher mes gémissements… Sa langue douce, divine, ses doigts effleurent mes douceurs, les ouvrent, les savourent je me livre, ils me font délirer…Il est sur moi, il va me prendre, je suis trempée de désir et m’ouvre…Son membre explore, ouvre, découvre, puis lentement, plonge dans mon abîme…Il y rejoint ma source, et s’excite avec tendresse, me portant lentement à l’extase…En remontant, nous apercevons Romain et Julia, enlacés sur notre espace détente, notre havre en bordure de piscine, dans lequel le dernier couple improvisé, Pat et Isabelle semble se donner beaucoup de plaisir…Le ton est donné, je sors un peu d’alcool, les pose sur une table dehors, nous rejoignons nos amis, étalés sur les matelas, reprenant quelques forces…Julia vient près de moi, me remercie, m’embrasse et nous échangeons caresses et délices, Marc nous accompagne, puis Pat, un quatuor de choc, Isabelle et Romain se joignent à nous, et c’est une orgie qui démarre, femmes et hommes se livrent entièrement, respectant nos principes, je vois des positions étranges, d’autres obscènes, provocantes, les hommes sont vite débordés, les femmes s’entremêlent… Isabelle, puis Julia découvre le pluralisme, entreprise par deux hommes, leurs hommes, arrivant enfin au but de leurs échanges et nous délivrent leurs orgasmes sans retenue, Surtout que Romain s’en mêle et vient parfaire leurs ébats…Je n’en suis pas exclue, mon tour arrive, et tous les trois me font vibrer, m’assaillent, me font délirer, jusqu’à un tremblement de terre…Que de plaisir dans cette soirée particulière, que de tendresse dans ces deux jeunes épouses venues pimenter leurs libidos, je crois que le but est atteint… Largement, car le dimanche est autant érotique, entre piscine et délassement, seuls ou à plusieurs, les ébats continuent, tendres, épiques, sonores, émouvants parfois, Isabelle chevauche son Marc en toute liberté, nous offrant une séquence intime très agréable, et nous rejoignons aussi nos conjoints et partenaires, pour des moments de tendresse et d’amour partagé…Nous leur offrons un trio de déesses, un échange lesbien, moitié en piscine, puis au sec, entrelacées, délirant nos orgasmes, les excitant par nos gémissements de chiennes en chaleur, les provocant pour finir de nouveau tous les six avec un progrès notoire, le second niveau… Marc prend Julia par derrière, devant Isabelle, la faisant jouir sans répit, Isabelle avec Pat, redécouvre la sodomie et la pluralité, aidé par Romain qui ne m’oublie pas pour autant… J’anime les trios et les duos, partage, embrasse, je deviens actrice, perverse… Elles se laissent guider, ne refusent rien, offrant et prenant leur plaisir, comme de véritables et délicieuses libertines… Les hommes sont aux anges, épuisés…En fin de journée je sors une bouteille de champagne, les remercie, surtout nos hommes de nous avoir emmenées dans les délices du plaisir…-Merci à tous d’avoir joué le jeu, dépassé vos limites, respecté notre charte et profité de cette première séance… Je pense que le but a été atteint, je n’ai pas enregistré de plainte… Bonne soirée, à bientôt j’espère, avec autant de charme et de passion.Isabelle est revenue me trouver le lundi suivant, un après-midi délicieux, accompagnée de Julia et elles m’ont prouvé qu’elles avaient assimilé mes leçons au-delà de toute espérance, jusqu’au soir, sans répit, un récital de tendresse entre amies…FINMarika842010 – Août 2018 – Série Confidences de…

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